Deux coups de cravache et l'Abarth 500 jaillit des starting-blocks, pour atteindre son couple maxi de 180 Nm à 2500 tr/min. / D.R.

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Le succès de la nouvelle Cinquecento ne se dément pas. Histoire d'entretenir la flamme, voici l'Abarth 500 de 135 ch, une grosse puce bien musclée qui consomme raisonnablement. Le prix de base est fixé à 28490 francs.
Comparée à la Fiat 500 Sport qui coûte 4500 francs de moins, l'Abarth bénéficie d'un moteur turbo 1,4 litre affichant 35 ch de plus. D'où son tempérament vraiment sportif. Trois chiffres pour le dire: notre quatre-places pesant 1,1 tonne met 7,9 s au 0 à 100 km/h et monte à 205 km/h.

Jaillissante Abarth
Deux coups de cravache et l'Abarth 500 jaillit des starting-blocks, pour atteindre son couple maxi de 180 Nm à 2500 tr/min et sa puissance de 135 ch (99 kW) à 5500 révolutions. Le mode Sport activable au moyen d'une touche permet même de la booster (206 Nm à 3000 tr/min) pendant un court instant.
Si les hauts régimes conviennent au 1.4 Fire turbo, la «promenade» n'est pas interdite, l'Abarth 500 se relançant pratiquement depuis le ralenti. Le quatre-cylindres se met alors au travail avec douceur et souplesse. Une façon aussi de ménager le portefeuille. Selon le constructeur, la consommation varie entre 5,4 et 8,5 l aux 100 km selon le style de conduite. En moyenne, 6,5 litres devraient suffire. Mais, d'après nos expériences avec la Fiat 500 1.4 (100 ch, essai RA 3/2008), comptez plutôt 7 litres, 

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source revue automobile suisse